Rentrée littéraire : le Poulitzer en question
Tandis que nos chères têtes blondes - ou plutôt leurs séants - retrouvent avec raideur les bancs de leur école, nos amis journaleux ne sont pas en reste et repartent de plus belle dans la chasse au scoop.
C'est ainsi que nous revient Pat Dylan, canne major de la rédaction de la Lozère Nouvelle, ragaillardi par des congés bien mérités, le verbe affûté comme jamais, tout auréolé d'un regain d'inspiration de rentrée et de moult sujets brûlants à traiter en priorité, n'en déplaise aux sphères parisiano-technocratiques à la solde d'une presse judéo-maçonnique qui tente de nous faire croire que la question des retraites est importante.
Je dis non et me fait l'écho des dernières nouvelles de la France profonde, la laborieuse, la dure, la besogneuse, celle qui sait ce qu'est la souffrance, en vous présentant les derniers pamphlets de l'ami Pat, celui que Vignal lui-même considère comme son fils spirituel.
Pour entamer la série (car il s'agit bien là d'une oeuvre au long cours), quoi de mieux qu'une iconographie bien sentie proche des considérations de tout un chacun ? D'autres satires suivront, tantôt chefs d'oeuvre du journalimse d'investigation, tantôt récits poignants de la vie ordinaire.
Mais assez parlé, place au maître :