Pat se la donne comme jamais
Galvanisé par les prouesses de son mentor de toujours, Pat 'the chack' Vignal, notre bon Pat 'brebis ménopausées' Zimmerman (le Bob Dylan lozérien, rappelons-le, le Albert Londres du Gévaudan, le Robert Namias des tas de fumier) se déchaîne chaque semaine un peu plus dans l'hebdomadaire que tous les bouseux attendent avec fébrilité le dredi matin.
Tremblez, ténors du sensationnalimse urbain, voici le Pulitzer 2010 qui déferle du fin fond du DTC du monde avec son flow campagnard qui va ricocher sur vos déambulateurs ! Que le tout Paris bien pensant revoie sa copie et prenne de la graine du petit provincial qui monte. Faits divers, phénomènes de société, analyses de fond sur la consommation de fromages au lait cru en milieu carcéral, plus rien ne l'arrête.
A la profondeur du propos s'ajoute, comme sa marque de fabrique le veut désormais, une patte de velours linguistique fait d'une syntaxe chaloupée et de voluptés sémantiques dont tâcha en vain de s'inspirer le Merddate avant sa déchéance. On ne peut que profiter...
Laissez donc parler votre coeur lorsque vous jugerez, une nouvelle fois, ce brave Pluto.
Tout est là et merci bien.
Allez, en le remerciant, bonsoir.