Les antipubs ne sont pas gentils.
Jacques Séguéla a survécu à Pierre Desproges.
Ô seigneur, en plus d'être impénétrable, tu es bien cruel.
Même moi, ça me fout les boules. Je suis limite nervous breakdown.
Il me semble que nous n'avons pas eu notre dose de Séguélasse depuis longtemps sur ce blog, non ?
Remercions donc le mensuel la décroissance qui nous offre ce présent.
Jacques Séguéla, interrogé sur France Info au sujet des antipubs :
"Je ne répondrai pas à une imbécillité telle que de traiter la publicité de violence. La publicité, elle est marchande de bonheur, ça n'a rien à voir ! (...) C'est la pub qui est le sponsor de la démocratie. (...) On vivra pas sans pub ! (...) Qui crée des emplois ? C'est pas les destructeurs de pub ! (...) On peut tout critiquer sauf le moteur de l'économie [la pub]. (...) Demandez à un anti-pub ce que devient la neige lorsqu'elle fond. Il vous répondra : "de l'eau". C'est pas ma réponse à moi. Moi je dis, lorsque la neige fond, elle devient le printemps... (...) Je dis [au public] la vérité avec de l'amour. [L'antipub] sème la haine. Vous croyez qu'on n'a pas assez de haine dans ce pays de misère ? Vous croyez pas qu'il faut se tenir la main pour essayer de sortir de la crise plutôt que d'aller barbouiller des affiches ? Vous pensez que ça fait avancer le schmilblick que de barbouiller des affiches ?!"
De quoi apporter des éléments de réponse à la question qui reste posée : Jacques Séguéla est-il un con ? De deux choses l’une, ou bien Jacques Séguéla est un con, et ça m’étonnerait tout de même un peu, ou bien Jacques Séguéla n’est pas un con, et ça m’étonnerait quand même beaucoup.
Toujours en citant le réquisitoire de PD, Jacques Séguéla est un handicapé publico-maniaque de type Napoléon de gouttière minable et incurable, confit dans sa suffisance et bloqué dans sa mégalomanie comme un marron dans le cul d’une dinde.
Carré, le cul de la dinde.